Présentation

Avant de présenter les soins que je propose, je voudrais évoquer mon histoire. Ceux qui ont lu ce que j’ai publié sur mon site constateront qu’il s’agit d’événements vraiment personnels.

Enfant, les chevaux faisaient déjà partie de ma vie. Ma mère en possédait 3 et elle montait au club situé à côté de notre maison. J’ai appris à monter dans un poney club. Voici ce que ma mère me raconta plus tard : j’avais 3 ans et elle m’avait conduite pour la première fois à un cours de poney. Il était recommandé de laisser monter les tout-petits pas plus d’une demi-heure, mais je ne voulais pas m’arrêter ! La monitrice dit alors simplement à ma mère de me laisser et que je finirai bien par descendre de moi- même. Je suis restée 1 h 30 sur le poney ! À la fin, totalement épuisée, j’ai demandé à descendre.

En grandissant, mon amour pour les chevaux n’a fait qu’augmenter. J’ai arrêté le club car l’esprit qui y régnait ne me correspondait plus. J’ai alors suivi ma mère qui faisait de la randonnée. Nous avons fait plusieurs équi-randos : la traversée de l’Ille-et-Vilaine, la traversée de la baie du mont Saint-Michel, plusieurs grandes randonnées avec les Cavaliers catholiques…

Puis j’ai eu ma première jument, Hilona. Elle était incroyable ! Je courais dans les chemins avec elle, quand je me cachais derrière les arbres, elle me cherchait, je dormais même dans son box. C’est un accident dramatique qui mit fin à notre histoire. Elle est morte dans mes bras ; j’avais 13 ans. Mes parents ont acheté son demi-frère, Endi, mais l’adolescente que j’étais devenue, le traumatisme dû à la mort de ma jument et le départ de la Normandie pour Toulouse m’ont propulsée dans un monde où le cheval avait moins d’importance. D’ailleurs, depuis la mort d’Hilona, je ne voulais plus entendre parler de chevaux…

Puis le temps est venu de se dégager de ce douloureux épisode grâce à un homme qu’on appelait Papi. Il mettait ses poulains pur-sang arabes en sevrage avec nos vieux chevaux. Alors mon intérêt est peu à peu revenu. J’ai commencé à monter un étalon qui s’appelait Savino de la Pomme ; une lignée célèbre.

Les étalons sont des chevaux puissants et ce fut très stimulant pour moi d’être en sa compagnie.

 

 

Le temps a passé, ma mère a rendu l’âme (ou est partie de l’autre côté) s’est envolée et nous avons déménagé à Belpech. Seul restait Endi à cette époque, alors une nouvelle histoire a commencé en lui offrant une compagne, Maya, la ponette de ma fille Fleur. Puis est arrivé un étalon, Magnum, pour mon compagnon, puis la jument Estrella, pour ses enfants, et tout récemment Bimba, un shetland, dont la taille est plus appropriée pour Fleur, et enfin la pouliche Nikita pour moi. Nous avons décidé de déménager et nous sommes arrivés au domaine du Chêne Doré, un lieu immense et magnifique qui peut accueillir tous nos rêves.

L’un des miens consistait à apprendre la facilitation lors de constellations familiales, mais avec les chevaux. Je n’avais pourtant jamais fait de constellations de cette sorte et tout juste une avec les humains. La vie a mis Florence Bouygues sur ma route et j’ai suivi des formations avec elle.

Après mon premier éveil spirituel à 25 ans et la cinquantaine de stages, périodes de soins et de formation, je me suis retrouvée à un stage de facilitatrice en constellation familiale, et je m’y suis épanouie comme une fleur ! C’est comme si j’avais fait cela depuis toujours !

Un immense merci à Florence pour son professionnalisme, pour la fluidité qu’elle apporte et les portes qu’elle ouvre à chaque instant !

Riche de ces enseignements, je viens vous présenter les constellations familiales avec les chevaux et l’accompagnement personnalisé que je propose aujourd’hui.